Le Starter Pack : de la blague à la bataille d’ego visuel
Ah, les Starter Packs. Vous savez, ces petits montages qu’on voyait traîner sur Instagram ou X (ex-Twitter pour les nostalgiques du petit oiseau bleu), où quatre images mal détourées représentaient une catégorie de personne : "Le mec qui fait du skate mais ne sait pas faire d’ollie", "La graphiste Team MacBook et tote bag", "L’étudiant en ecole 3D qui vit au rythme de Blender". Bref, un format simple, drôle, un peu moqueur, et surtout très partageable.
Mais 2025 a vu débarquer un nouveau challenger dans l’arène des tendances : les Starter Packs en 3D.
Oui, vous avez bien lu. On ne parle plus de quatre images balancées à la va-vite dans Canva. On parle de rendus photoréalistes, textures PBR, éclairage HDRI, et même du grain sur la moquette pour faire vrai.
Et comme souvent dans ce genre de phénomène numérique : c’est l’IA qui a lancé la mèche.
ChatGPT se prend pour Pixar
Depuis que notre pote ChatGPT s’est vu greffer un module de génération d’images 3D ultra-réalistes, tout a changé. Il suffit maintenant de lui dire :
"Fais-moi un Starter Pack du freelance motion designer qui ne dort plus"
Et hop : une figurine réaliste apparaît avec une tasse de café à moitié pleine, un écran After Effects qui plante, une pile de factures et un chat qui juge silencieusement.
Le plus fou ? Ça a l’air réel. Genre, trop réel.
Cette nouvelle fonctionnalité a retourné le monde créatif. Les feed Insta se sont remplis de ces compositions surréalistes, parfaites, si bien léchées qu’on aurait pu les imprimer en poster.
Mais évidemment… les vrais artistes en ecole 3D ont eu des choses à dire.
Quand les artistes 3D ont dit "stop, maintenant on joue"
Au bout d’environ deux semaines (durée moyenne de vie d’une tendance web en 2025), certains ont commencé à grincer des dents.
Les artistes en ecole 3D ont dit : "OK, c’est cool l’IA, mais si on faisait ça à la main ?"
Et là, BOUM. Nouvelle vague. Le Starter Pack 3D fait maison.
Résultat ? Des Starter Packs encore plus drôles, plus inventifs, avec des détails qu’aucune IA ne pourrait imaginer.
Une tendance qui en dit long sur la 3D d’aujourd’hui
Ce phénomène n’est pas qu’une lubie de créateurs en mal de buzz. Il montre surtout à quel point la 3D s’est démocratisée. Ce qui était réservé aux studios de ciné il y a dix ans est aujourd’hui à la portée de toute personne motivée, formée (à Studio M Nice, par exemple), et équipée d’un laptop qui ne chauffe pas comme une plaque de cuisson, ou même simplement d’une feuille, d’un crayon et un peu de couleurs.
Les réseaux sociaux ne sont plus juste un lieu pour partager du contenu. Ils deviennent un terrain de jeu artistique, où les artistes en ecole 3D repoussent les limites du réalisme, de l’humour, et parfois du bon goût.
Et justement, dans un monde où l’IA peut générer une image en 5 secondes, le fait main redevient un luxe. Une preuve de maîtrise. Une signature. Un statement.
Et si tu veux faire pareil…
À Studio M Nice, notre ecole 3D ne forme pas seulement des techniciens de la souris, mais des créateurs capables de flairer la tendance, de la détourner, de l’élever, ou même… de la lancer.
Tu veux impressionner le web avec un rendu si propre qu’on croira que tu bosses chez Pixar alors que tu es juste dans ta chambre avec un mug de café ?
Alors peut-être que tu es au bon endroit.
Peut-être que tu es prêt à rejoindre l’ecole 3D qui prépare les futurs grands de demain, même ceux qui aiment rigoler en modélisant une boîte de thon en low poly.
