Commencée premièrement par l'arrivée des NFT, puis l'émergence de ChatGPT, la crainte envers l'intelligence artificielle ne cesse d'augmenter ! On dit qu'elle menace d'abord les emplois dans le secteur de la communication, également de la comptabilité, du marketing, de la finance...
Mais menace-t-elle réellement les métiers du secteur des arts appliqués et du design ? Les formations de graphiste subiront elles le même sort que les métiers en caisse, à savoir, fini l'humain ?
Pour résumer très simplement : non. Il y a toujours un intérêt, d'ailleurs, une nécessité, à suivre une formation graphiste !
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Les débuts de l'IA
Bien que trop associée à Midjourney, ChatGPT, Gemini...l'IA a une longue histoire derrière elle. Nous parlerons ici des débuts et non des prémices, pour parler des prémices, il faudrait aborder l'histoire de la programmation !
En réalité, l'IA connut la vie avant même la GenZ, de nombreux ingénieurs s'y essayaient. L'une des IA d'ailleurs les plus connues reste Google Search. En effet, Google Search détient ce qualificatif, car elle s'appuie sur la simulation de capacités humaines.
Qui nous proposait des destinations de rêves pour les vacances avant l'existence d'Internet ? Probablement les agences de voyage.
Existent-elles encore aujourd'hui malgré l'existence de Google Search et dorénavant ChatGPT ? Oui. Il y en a moins qu'avant ? Non, bien au contraire !
Pourquoi ? Tout simplement car nous avons tous des envies et désirs qu'un programme, qui ne réfléchit comme nous, puisse y répondre. Certes, il serait faux de dire que l'IA n'a pas détruit des affaires, cependant, il faut constater qu'elle a crée de nouveaux besoins.
Là réside toute l'essence même de l'IA, elle a besoin d'humains, de professionnels et répond À des besoins humains.
Faut-il donc renoncer à suivre une formation graphiste ? Non, car l'IA a besoin de graphiste, des graphistes qui pensent comme la masse, et donc, apte à répondre à des besoins particuliers.
D'où provient donc la crainte générale vis-à-vis de l'IA ?
La crainte générale (de masse) vis-à-vis de l'IA a pour origine les NFT. Dévoilés au grand public pour la première fois en 2018, ces tokens monétaires numériques ont soulevé la crainte d'un monde sur-digitalisé. Par cela, nous entendons, un monde qui échappe à l'humain "commun" (absolument pas familier avec le numérique).
Les NFT, ayant premièrement fait débats sur le secteur financier/économique, ont dérivé ailleurs, notamment sur le secteur du design.
Ces petits dessins numériques, apparemment générés par des IAs génératives, ont soulevé la première vague de scepticisme. Les diplômés de formations graphiste, et les graphistes en activité, ont eu peur pour leurs (futurs) emplois. Néanmoins, les NFT avaient/ont de la valeur, car ils représentent "les dernières œuvres humaines" avant l'émergence du monde digital.
Or, si les NFT continuent à prendre de la valeur, et donc, à se multiplier, des graphistes travaillent derrière ? Pas n'importe quels graphistes, des diplômés de formations graphiste, qui sont associés comme "néo-Da Vinci".
Faut-il donc, arrêter de suivre des formations graphiste, car l'IA va remplacer ces corps de métier ? Non.
DTR Fight, ou encore, comment le public réagit face à des travaux faits par des non-diplômés de formation graphiste
Si tu n'es pas sur Twitter (nouvellement X), tu as surement dû louper la problématique dans laquelle RebeuDeter se retrouve.
Des pieds à la place des mains, des bras difformes, des expressions faciales mal représentées...
Bref, plusieurs éléments qui dépeignent un travail graphique moyen. Pourtant, voici un travail réalisé par ce qui "menace" le travail des personnes ayant suivi une formation graphiste.
"Pourquoi ne pas engager des graphistes ?", "Des gens suivent des formations graphiste pour que des influenceurs fassent ça ??!", "Mdrrr, plus fort l'IA la prochaine fois..."
Les réactions de différents internautes suite à la publication de cette affiche promotionnelle pour un évènement de boxe anglaise.
L'influenceur RebeuDeter a reçu des centaines de messages, lui faisant part qu'avec cette publication, il risque de mettre au chômage un nombre incalculable de graphistes, ayant poursuivi des formations graphiste.
D'autres ont appelé aux boycott de l'évènement et ont appelé à la responsabilité des autres participants quant à cet emploi de l'IA. L'influenceur s'est par la suite excusé et a fait appel à un graphiste diplômé pour lui faire une affiche promotionnelle.
Cet incident a ainsi souligné l'importance des talents ayant suivi des formations graphiste, démontrant l'intérêt du public pour des créations originales.
Faut-il donc renoncer à suivre des formations graphiste ? Non.
Conclusion
Faut-il renoncer à suivre une formation graphiste ?
Non. L'IA a démontré ses limites. Elle ne peut répondre aux besoins des consommateurs. Elle fonctionne sur base même de l'existence de professionnels du secteur. Le public ne VEUT pas, de créations génératives.
En revanche, l'IA souligne l'importance à suivre une formation spécialisée, notamment une formation graphiste. En effet, l'IA fait du travail de surface, elle ne répond pas en profondeur. Grâce à des formations spécialisées, les talents se forment à "aller en profondeur".
Ainsi, il y a tout intérêt à suivre une formation graphiste, pour de par, répondre à des besoins/désirs profonds. D'autre par, toucher l'humain, celui qu'on essaye de convaincre.
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Studio M, l'école des métiers créatifs, s'efforce à transmettre un savoir-faire et un savoir-être aux talents de demain. Elle informe les talents des nouvelles tendances, et les baigne dedans.
Les formations graphiste Studio M, apporte une réelle discipline. Elles renforcent les compétences fortes (hard-skill - savoir faire ci et ça) et naturelles (soft-skill - être, savoir faire de telle sorte à). Ainsi, les talents pénètrent le marché de l'emploi avec une expertise, qui démontre l'importance à suivre une formation graphiste pour atteindre la cible.